MERCREDI 29 JANVIER 2014 (Mise en condition)
J’effectue mes préparatifs dès
le mardi 28/01 au soir afin d’être fin prêt pour mon départ du mercredi dans
l’après-midi.
Le 29/01, je quitte mon
domicile aux alentours de 16h25 et m’arrête embrasser mes enfants en garde chez
leurs grands-parents. Je redécolle alors vers 16h50 pour un peu plus de deux
heures de route.
A mon arrivée à 19h10, je
dépose en priorité mes affaires au logement, prépare mon couchage et repart
vers le centre ville pour récupérer nos badges qui n’étaient pas arrivés dans
les temps.
Alors que j’approche de mon
lieu de stationnement habituel, je suis rejoint par mes deux comparses Qui
arrivent directement dans le centre d’Angoulême au même instant. Quelle
synchronisation !!!
Angoulême by night |
La touche finale |
La galerie Glénat |
Une fois nos véhicules
stationnés, nous nous dirigeons vers la cour centrale de l’Hôtel de Ville ou se
trouve l’espace professionnels, lieu de « délivrance » des
sacro-saints badges. Il est alors prêt de 20h00 et malheureusement pour nous,
la porte est close. Nous sommes bons pour devoir récupérer nos badges le jeudi
matin. C’est une première mais il faut bien des premières à tout me
direz-vous !!!
Vu l’heure et l’estomac de
Yohan, il est temps de partir en quête d’un lieu pour dîner. Sans hésitation,
nous nous dirigeons vers l’Angolo de l’Italia qui ne peut nous accueillir à
cette heure. Après mûre réflexion, nous décidons de nous rapprocher du cinéma
pour nous « sustenter ». A notre grand étonnement, le
restaurant La Caza est définitivement fermé. Nous nous reportons donc vers
la fameuse brasserie de l'Esplanade qui nous avait accueilli à moultes reprises les années
passées. Là, nous sommes reçus chaleureusement et nous nous retrouvons au beau
milieu du staff Delcourt/Soleïl qui après
avoir terminé l’installation de leurs stands (avec un nouvel emplacement et une
nouvelle organisation qui oblige à traverser la partie magasin afin d’accéder
au pôle dédicaces) viennent recharger leurs batteries. Après que nous ayons
dégusté nos plats (un munster chaud au cumin et pomme de terre suivi d’une
glace vanille sur crème de marron pour ce qui me concerne), nous nous voyons
offrir un petit digestif à base de gingembre et cannelle. Cela nous revigore un
peu et nous permet d’affronter la légère froideur qui s’est installée sur
Angoulême. Le temps d’arriver au cinéma pour 22h15, Guillaume m’apprend la
triste nouvelle : le décès du talentueux artiste Philippe
DELABY (Murena, La
Complainte des Landes Perdues …). Etranges coïncidences
parfois, le « départ prématuré » d’un grand de la BD à la veille de l’une des
plus grandes manifestations consacrée au 9ème Art. La tristesse
sera bien évidemment perfectible sur le
stand Dargaud.
Le programme de nos trois
soirées ayant été déjà composé, c’est par le film I, Frankenstein que nous
débutons nos « hostilités » cinématographiques. Que dire en plus du
fait que la 3D est totalement inutile ? Que ce n’est pas le film de l’année ?
Mais ça, c’est une évidence. Que le traitement visuel est intéressant et
qu’avec le thème, en plus de la présence de Bill Nighy, tout le rapproche de la
saga Underworld. Il est surprenant de retrouver l’acteur Aaron Eckhart dans un tel rôle et surtout en
tête d’affiche d’un tel film. Au final, nous nous sommes arrêtés de réfléchir
pendant près d’1h30. Quand la salle quitte la pénombre, il est alors 23h45
passé et il est temps pour nous de retrouver le logement pour une petite nuit
réparatrice avant notre première journée de "rush".
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