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79, France
Né en 1973, je tombe très tôt dans la lecture de BD et comics. Cela ne m'a pas quitté et s'est transformé en une véritable passion que je souhaite partager grâce à ce blog.

28 juillet 2014

FESTIVAL DE LA BD D’ANGOULEME 2014 - Rétrospective (1)



MERCREDI 29 JANVIER 2014 (Mise en condition)

J’effectue mes préparatifs dès le mardi 28/01 au soir afin d’être fin prêt pour mon départ du mercredi dans l’après-midi.
Le 29/01, je quitte mon domicile aux alentours de 16h25 et m’arrête embrasser mes enfants en garde chez leurs grands-parents. Je redécolle alors vers 16h50 pour un peu plus de deux heures de route.
A mon arrivée à 19h10, je dépose en priorité mes affaires au logement, prépare mon couchage et repart vers le centre ville pour récupérer nos badges qui n’étaient pas arrivés dans les temps.
Alors que j’approche de mon lieu de stationnement habituel, je suis rejoint par mes deux comparses Qui arrivent directement dans le centre d’Angoulême au même instant. Quelle synchronisation !!!

Angoulême by night
La touche finale
La galerie Glénat


Une fois nos véhicules stationnés, nous nous dirigeons vers la cour centrale de l’Hôtel de Ville ou se trouve l’espace professionnels, lieu de « délivrance » des sacro-saints badges. Il est alors prêt de 20h00 et malheureusement pour nous, la porte est close. Nous sommes bons pour devoir récupérer nos badges le jeudi matin. C’est une première mais il faut bien des premières à tout me direz-vous !!!
Vu l’heure et l’estomac de Yohan, il est temps de partir en quête d’un lieu pour dîner. Sans hésitation, nous nous dirigeons vers l’Angolo de l’Italia qui ne peut nous accueillir à cette heure. Après mûre réflexion, nous décidons de nous rapprocher du cinéma pour nous « sustenter ». A notre grand étonnement, le restaurant La Caza est définitivement fermé. Nous nous reportons donc vers la fameuse brasserie de l'Esplanade qui nous avait accueilli à moultes reprises les années passées. Là, nous sommes reçus chaleureusement et nous nous retrouvons au beau milieu du staff Delcourt/Soleïl qui après avoir terminé l’installation de leurs stands (avec un nouvel emplacement et une nouvelle organisation qui oblige à traverser la partie magasin afin d’accéder au pôle dédicaces) viennent recharger leurs batteries. Après que nous ayons dégusté nos plats (un munster chaud au cumin et pomme de terre suivi d’une glace vanille sur crème de marron pour ce qui me concerne), nous nous voyons offrir un petit digestif à base de gingembre et cannelle. Cela nous revigore un peu et nous permet d’affronter la légère froideur qui s’est installée sur Angoulême. Le temps d’arriver au cinéma pour 22h15, Guillaume m’apprend la triste nouvelle : le décès du talentueux artiste Philippe DELABY (Murena, La Complainte des Landes Perdues …). Etranges coïncidences parfois, le « départ prématuré » d’un grand de la BD à la veille de l’une des plus grandes manifestations consacrée au 9ème Art. La tristesse sera  bien évidemment perfectible sur le stand Dargaud.
Le programme de nos trois soirées ayant été déjà composé, c’est par le film I, Frankenstein que nous débutons nos « hostilités » cinématographiques. Que dire en plus du fait que la 3D est totalement inutile ? Que ce n’est pas le film de l’année ? Mais ça, c’est une évidence. Que le traitement visuel est intéressant et qu’avec le thème, en plus de la présence de Bill Nighy, tout le rapproche de la saga Underworld. Il est surprenant de retrouver l’acteur  Aaron Eckhart dans un tel rôle et surtout en tête d’affiche d’un tel film. Au final, nous nous sommes arrêtés de réfléchir pendant près d’1h30. Quand la salle quitte la pénombre, il est alors 23h45 passé et il est temps pour nous de retrouver le logement pour une petite nuit réparatrice avant notre première journée de "rush". 

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